Pour AlainB 

AlainB m’amène à réfléchir à nouveau au sujet de  (et surtout à écrire sur)  mes portraits numériques et surtout au sujet de mes nus numériques et surtout au sujet de mes autoportraits nu numériques.

A quoi pensais-je ?

A confronter la possibilité du virtuel, capable de tous les effets spéciaux illusionnistes et trompeurs à la réalité qui peut servir de modèle. De motif.

Un paysage, une architecture, un objet familier, un homme ou une femme ou un enfant me vont bien pour faire ma démonstration.

Mais avec le nu il me semble atteindre une limite : telle image 3D est bien née de la confrontation avec une vraie personne. Et s’il s’agit de moi-même la question se redouble de la monstration web-publique du bonhomme.

Alors que cherche-t-on ? A se cacher ? A reconnaître ? A se montrer ? Questions que connaît bien AlainB.

En quoi la création d’un lui-même virtuel, objet 3D, peut-elle lui ouvrir de nouvelles perspectives ?

C’est ce que nous voulons voir.

Et en passant par un peu de technique.

La photogrammétrie compile des photos pour créer un objet virtuel. Il suffit de tourner autour de l’objet en faisant plusieurs dizaines de photos, au moins 40. On peut aboutir à un certain réalisme. Ou pas.

Au lieu de photos on peut extraire des frames d’une vidéo faite en tournant autour du modèle. Le geste est plus libre, le résultat peut surprendre le machiniste  ou pas , cela dépend.

Troisième piste : le scanner. Là, un assistant peut scanner le modèle vivant, mais celui-ci peut aussi manier le scanner lui-même, c’est assez sportif !


Ensuite , toujours la même question: comment exposer/partager cela ?

Objet virtuel sur le web ou une tablette? 3Dvideo? Impression(s) d'imprim écrans?

ps : je ne me souvenais pas d'avoir écrit ceci! 

https://mixed3d.net/artvrml/020317.htm

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