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Source ( Hommage à Gérard Manset ) Royaume de Siam Comme un guerrier . Entrez dans le rêve . Ramenez le drap sur vos yeux Entrez dans le rêve Reprendre la vie des autres où on l'a laissée Quand le jour s'achève Voir les couleurs voir les formes Enfin marcher pendant que les autres dorment Voir les couleurs voir les formes Les villes sont des villes bordées de nuit Et peuplées d'animaux qui marchent sans bruit Toujours dans votre dos la peur qui vous suit Toujours dans votre dos Ramenez le drap sur vos yeux Entrez dans le rêve Allumez l'écran merveilleux Quand le jour s'achève Retrouver l'amour blessé Au fond du tiroir où on l'avait laissé Retrouver l'amour blessé Découper le monde à coups de rasoir Pour voir au cœur du fruit le noyau noir La vie n'est pas la vie ni ce qu'on nous fait croire La vie n'est pas la vie Les villes sont des villes bordées de nuit Et peuplées d'animaux qui marchent sans bruit Toujours dans votre dos la peur qui vous suit Toujours dans votre dos Album "Lumière", 1984 Il voyage en solitaire . Ya une route . Que deviens-tu ? http://youtu.be/OQ7dnwBU2-k Millions de vies cachées dans des maisons de tôle, Fourmi portant le monde sur tes épaules Qui plie mais ne rompt pas comme le saule, Fourmi portant le monde sur tes épaules. Maisons châteaux, Murs de sable, murs de vent, Souffle de l'avenir nous soulevant Comme une feuille d'arbre pourrissant, Jaune et dorée sous le soleil couchant Comme un chien qui s'est tû Et toi que deviens-tu? Je te demande: Et toi que deviens-tu? Maisons châteaux, Murs de sable, murs de vent, Cristal taillé plus pur que le diamant Qui devient sous nos doigts Sable tout simplement, Sable dans nos paupières Nous endormant, Comme un film s'arrête. Et toi que deviens-tu? Je te demande: Et toi que deviens-tu? Vies monotones . Nous avons des vies monotones, Rien dans le cœur, rien dans la main. Comme on ne dit plus rien à personne, Personne ne nous dit plus rien. Nous avons des vies monotones, Des maisons vides et fermées, Des portes lourdes et blindées Que n'ouvriront plus jamais personne. Mais comme il faut bien qu'on vive, S'asseoir avec le même convive, C'est pas le festin qu'on croyait, Pas de fusée, pas de vin, pas de sorbet, Y a plus qu'à tirer la nappe à soi, Continuer chacun pour soi. Nous avons des vies monotones, Rien dans le cœur, rien dans la main, Comme on n'attend rien de personne, On n'a plus réponse à rien. Nous avons des vies monotones, Entourés d'hommes et de chiens, Ceux qui mangent dans notre main, Ce sont ceux-là qu'on abandonne Mais comme il faut bien qu'on vive Ce soir avec le même convive, C'est pas la fête qu'on croyait Où sont les lumières qui brillaient. Y a plus qu'à tirer la nappe à soi, Continuer chacun pour soi. Nous avons des vies sans mélange Qui s'en iront de tous côtés, Raides et droites comme une planche Sur l'océan de pauvreté Quand tu portes http://youtu.be/wH0Cu5uU3wQ La neige est blanche . Seul et chauve . Fini d'y croire . Quand
j'étais jeune, je croyais aux rêves _________________________________________________________________________ |
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Source ( Homage to Gérard Manset ) an too : Gracias a la vida http://www.youtube.com/watch?v=wze9r6JvXEY The Partisan http://www.youtube.com/watch?v=T8aPnm6lIWY&feature=related Bloddy Sunday La vie d'ici bas . Le vent nous emportera . Billy Elliot Nougaro Des voiliers les-uns-contre-les-autres Vladimir Vissotsky . a _________________________________________________________________________ |
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